Avoir un garçon : les raisons fréquentes pour préférer ce sexe bébé

Avoir un garçon est le rêve de 47% des couples. C’est ce que révèle une étude publiée en 2013. Ces derniers préfèrent avoir un garçon en premier, et ce pour plusieurs raisons. La première est la transmission du nom de famille assurée par le biais d’un petit gars. L’autre raison évoquée concerne les facilités d’éducation. Le sondage, qui compte 2 129 participants, précise toutefois que pour 95% des parents, l’essentiel est que le bébé soit en bonne santé.

 

Comment expliquer cette conviction, au demeurant pas toujours vraie ?

Quelles sont les 5 raisons les plus fréquentes de préférer un bébé garçon à un bébé fille ?
Saviez-vous qu’il était possible de suivre un régime alimentaire pour avoir un garçon ?
Enfin, nous verrons que le choix du sexe bébé est un sujet très important dans différentes régions du monde. C’est le cas de l’Inde, qui connait beaucoup de féminicides et d’avortements sélectifs. Qu’en est-il dans cette région du monde ?

 

Pourquoi préfère-t-on avoir un garçon ?
Les parents estiment qu’un garçon est plus facile à éduquer. Les garçons sont perçus comme plus forts et plus courageux. De ce fait, ils sont moins susceptibles d’être agressés, violés ou braqués. Les couples interrogés sont plus sereins face à l’accueil d’un garçon qu’à celui d’une fille.
De plus, selon les arguments développés par de nombreux couples, les garçons sont très proches de leur mère. Ce n’est pas un mythe. Pour un garçon, sa mère est la plus belle, la plus intelligente et la plus digne d’attention. Et cela ne change pas, même lorsqu’ils grandissent.
Comme dit précédemment, la transmission du nom de famille arrive en troisième position, suivie de près par les problèmes de filles, que n’ont pas les garçons.
Enfin, la dernière raison de préférer avoir un garçon est le préjugé selon lequel un garçon est plus actif qu’une fille. Effectivement, la majeure partie des filles sont douces et discrètes.
Il faut avoir conscience qu’il s’agit là du produit de l’éducation qu’elles ont reçue. Il est donc tout à fait possible d’avoir une fille pleine d’énergie et de malice, qui court et saute dans tous les sens.
NB : bien évidemment, nous vous relatons là différents résultats d’études réalisées dans certains pays. Ces résultats ne sont pas vraiment ce que nous pensons chez MyBuBelly. L’expérience nous montre que l’envie d’avoir un garçon ou une fille provient de raisons bien plus profondes que celles-ci, ou tout simplement de vouloir équilibrer sa famille.

 

L’importance des garçons dans certaines cultures : l’exemple de l’Inde
Le nord de l’Inde se trouve dans une situation très compliquée, puisque plus de 2 millions d’avortements ont eu lieu après avoir découvert le sexe féminin du bébé.
En effet, il y a des avortements au deuxième trimestre de la grossesse, lorsque la famille apprend que le bébé est une fille. Normalement, il y a à peu près autant de naissances de filles que de naissances de garçons. Ce n’est pas le cas en Inde, où les chiffres tombent à moins de 9 filles pour 10 garçons. Dans certains villages, il n’y a en tout et pour tout qu’une seule fille de moins de 18 ans, ce qui pose des problèmes sur le plan des mariages.
Pourtant, une loi existe. Depuis 1994, les médecins n’ont plus le droit de révéler le sexe du bébé aux parents. Certaines familles riches enfreignent cependant la loi et paient le médecin pour avoir cette information, puis procèdent à l’avortement quand ils le souhaitent.
Certaines études menées sur des populations occidentales ont mis en corrélation le niveau d’études avec le souhait d’avoir une fille ou un garçon. Il s’avère que plus les parents sont diplômés, plus leurs préférences s’orientent vers les filles. Cette analyse a été menée en 2011, sur 20 000 bébés et leurs familles.

 

Comment faire un garçon : la méthode pour avoir un garçon
Vous ne le saviez peut-être pas, mais l’alimentation détermine le sexe de votre futur bébé. D’une manière générale, avoir une alimentation équilibrée évite les carences en vitamines B. Sa présence maximise les chances de fécondation.